Arte effymero. L'apocalypse comme principe de création dans la bande dessinée de l'artiste trans Effy Beth
En 2012, l'artiste trans israélo-argentine Effy Beth inscrit en couverture de son unique bande dessinée, TRANSita rápido – TRANSita lento, la question rhétorique: "2012! Qué no es ahora el fin del mundo?" Selon les interprétations New Age du calendrier maya, l'année 2012 devait...
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| Autor principal: | |
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| Formato: | article |
| Lenguaje: | CA EN ES EU FR GL IT PT |
| Publicado: |
Universitat de Barcelona
2020
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| Materias: | |
| Acceso en línea: | https://doaj.org/article/03fd5831d4404cbdac9e0d4b57877120 |
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| Sumario: | En 2012, l'artiste trans israélo-argentine Effy Beth inscrit en couverture de son unique bande dessinée, TRANSita rápido – TRANSita lento, la question rhétorique: "2012! Qué no es ahora el fin del mundo?" Selon les interprétations New Age du calendrier maya, l'année 2012 devait en effet être celle de la fin du monde. Placée en ouverture d'un récit de non-fiction qui insiste sur les difficultés quotidiennes imposées aux personnes queer, la question peut toutefois être lue comme davantage qu'un clin d’œil conjoncturel. Dans sa bande dessinée, Effy Beth narre sa transidentité comme une identité apocalyptique. Elle transmue la transgression en principe de création et poursuit l'élaboration d'une poétique et d’une politique de l'éphémère initiée dans ses œuvres précédentes.
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