Un peaufinage pour Le Horla: la transposition médiatique BD
Actuellement le fantastique est objet de plusieurs formes de re-signification et de relecture. Grâce aux nouvelles technologies, le genre retrouve un nouveau chemin à travers un ancien artifice : l’image. La transposition médiatique BD du texte littéraire peut renouveler le texte monomodal. Selon B...
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Formato: | article |
Lenguaje: | EN ES FR IT PT |
Publicado: |
Universitat Autònoma de Barcelona
2017
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Materias: | |
Acceso en línea: | https://doaj.org/article/5f83e2448d764e4eb8ea9c8159344745 |
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Sumario: | Actuellement le fantastique est objet de plusieurs formes de re-signification et de relecture. Grâce aux nouvelles technologies, le genre retrouve un nouveau chemin à travers un ancien artifice : l’image. La transposition médiatique BD du texte littéraire peut renouveler le texte monomodal. Selon Boutin (2012), la BD conjugue multiples modes et « ‘lire’ de la bande dessinée, c’est nécessairement se confronter à un message narratif d’une complexité certaine et beaucoup plus dense que ne le laissent présager ses apparences. » Cet article investigue les atouts dont la transposition médiatique BD du conte écrit se servent pour saisir le suspens créé par le texte écrit monomodal fantastique et transformer le lecteur en coproducteur du texte. Pour ce faire, on emprunte une planche de l’adaptation de Guillaume Sorel, Le Horla d’après l’œuvre de Guy de Maupassant (2014).
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