Un commentaire sur les lacunes d’une enquête de santé publique
La possibilité que l’hépatite C soit transmise entre patients dentaires a été à l’origine d’une enquête rétrospective approfondie et coûteuse menée par un bureau de santé publique de l’Ontario. Cette enquête a été réalisée avec une connaissance minimale des infections nosocomiales d’origine dentaire...
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Formato: | article |
Lenguaje: | EN FR |
Publicado: |
Public Health Agency of Canada
2021
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Materias: | |
Acceso en línea: | https://doaj.org/article/749a9a9b630a4d8e9a62a987f88f5031 |
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Sumario: | La possibilité que l’hépatite C soit transmise entre patients dentaires a été à l’origine d’une enquête rétrospective approfondie et coûteuse menée par un bureau de santé publique de l’Ontario. Cette enquête a été réalisée avec une connaissance minimale des infections nosocomiales d’origine dentaire, une confiance enthousiaste dans des indicateurs de listes de contrôle non testés et en l’absence de critères justifiant une telle enquête. Par conséquent, l’ensemble de l’exercice reposait sur la fausse prémisse qu’il y avait eu un manquement au contrôle des infections. Ce commentaire aborde ces lacunes, ainsi que d’autres aspects de la réponse du bureau de santé publique qui ont nui à sa crédibilité. Une évaluation réaliste de la transmission des maladies en dentisterie devrait être offerte afin de permettre aux bureaux de santé publique de mener des inspections éclairées et mutuellement bénéfiques des cabinets dentaires. |
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