Langage et absurde. Pour une sémiotique in-signe de Lawrence Olivier
Lawrence Olivier nous avait habitués, avec ses essais, à la destruction sans fin : destruction du savoir (Le Savoir vain. Relativisme et désespérance politique, Liber, 1998), destruction du politique, en tout cas de son objet philosophique fantasmé, l’émancipation (Contre l’espoir comme tâche politi...
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Formato: | article |
Lenguaje: | FR |
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Érudit
2013
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Acceso en línea: | https://doaj.org/article/84952cc6c2a64899a4911b43bfa976af |
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Sumario: | Lawrence Olivier nous avait habitués, avec ses essais, à la destruction sans fin : destruction du savoir (Le Savoir vain. Relativisme et désespérance politique, Liber, 1998), destruction du politique, en tout cas de son objet philosophique fantasmé, l’émancipation (Contre l’espoir comme tâche politique, Liber, 2004), destruction de la « vie sociale » même, du point de vue des institutions (Détruire : la logique de l’existence, Liber, 2008). Y avait-il quelque chose au-delà de l’existence à quoi Olivier pouvait s’attaquer? Ah oui! bien entendu : le langage, cet « être » qui double l’existence. Voilà en tout cas le réflexe que plusieurs de ses lecteurs ont eu en apprenant la parution chez Liber d’un livre surnuméraire au triptyque que devait être les trois premiers essais. |
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