Le sujet-signe et la trahison du fantasme
Fantasme et fantaisie partagent une même racine étymologique grecque : φαντασία et φάντασμα renvoient tous deux à l’idée d’apparition, d’image présentée à l’esprit. Tour à tour construction imaginaire, vision hallucinatoire, illusion ou rêverie, la fantaisie est aussi associée à la liberté psychique...
Guardado en:
Autores principales: | Simon Levesque, Laurance Ouellet Tremblay |
---|---|
Formato: | article |
Lenguaje: | FR |
Publicado: |
Érudit
2020
|
Materias: | |
Acceso en línea: | https://doaj.org/article/90600db5430a42e087bd4f15d2aadd18 |
Etiquetas: |
Agregar Etiqueta
Sin Etiquetas, Sea el primero en etiquetar este registro!
|
Ejemplares similares
-
La formule du fantasme : image, signe et perversion d’après Yukio Mishima
por: Alexis Lussier
Publicado: (2020) -
Au-delà du signifiant imaginaire : repenser l’inscription du fantasme au cinéma
por: Louis-Paul Willis
Publicado: (2020) -
L’économie sémiotique du fantasme et le signe unique dans l’œuvre littéraire de Pierre Klossowski
por: Simon Levesque
Publicado: (2020) -
« Language was being » : à rebours du fantasme de l’être chez Kathy Acker
por: Laurence Pelletier
Publicado: (2020) -
L’« idiorrythmie » selon Roland Barthes : entre éthique et fantasme
por: Louis Rouquayrol
Publicado: (2020)