Mobilité, liberté et mort dans l’œuvre de Jocelyne Saucier
Dans le roman québécois, les motifs de l’exil (volontaire ou forcé) et de l’éloignement existent dans un continuum sociohistorique et critique. Longtemps liés à l’identité, ils engageraient aujourd’hui des questionnements plus susceptibles de transcender les frontières culturelles et sociales, quelq...
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| Autor principal: | |
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| Formato: | article |
| Lenguaje: | EN FR |
| Publicado: |
Association des Professeur-e-s de Français des Universités et Collèges Canadiens (APFUCC)
2021
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| Materias: | |
| Acceso en línea: | https://doaj.org/article/968b900b83424396b10b2dabe0c4521e |
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| Sumario: | Dans le roman québécois, les motifs de l’exil (volontaire ou forcé) et de l’éloignement existent dans un continuum sociohistorique et critique. Longtemps liés à l’identité, ils engageraient aujourd’hui des questionnements plus susceptibles de transcender les frontières culturelles et sociales, quelque chose qui toucherait à l’humain dans son essence, à sa manière d’appréhender le monde et son existence. C’est donc dans l’intention de tester cette proposition que nous investiguons l’imaginaire romanesque de Jocelyne Saucier, un univers qui habitent une quantité phénoménale de nomades dont les incessants déplacements croisent et décroisent les motifs de liberté et de mort. Les enjeux narratifs et poétiques de la mobilité seront exposés à travers la dimension temporelle des déplacements des personnages ainsi que leur caractère existentiel, à savoir la motivation à l’origine de leur excentrement. |
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