L’art du possible que l’on peut présumer
Le fait que les artistes modernes se tournent vers la science et les dernières technologies - robotique, informatique, biomédecine - nous oblige à reformuler notre concept de l’art. Il suffit d’imaginer un organisme cybernétique « semi-vivant » ou une culture neuronale dans les couloirs d’un musée o...
Guardado en:
Autor principal: | |
---|---|
Formato: | article |
Lenguaje: | ES FR IT |
Publicado: |
Osservatorio Processi Comunicativi
2021
|
Materias: | |
Acceso en línea: | https://doaj.org/article/b1f582e62efa4dce98f380111a12738a |
Etiquetas: |
Agregar Etiqueta
Sin Etiquetas, Sea el primero en etiquetar este registro!
|
Sumario: | Le fait que les artistes modernes se tournent vers la science et les dernières technologies - robotique, informatique, biomédecine - nous oblige à reformuler notre concept de l’art. Il suffit d’imaginer un organisme cybernétique « semi-vivant » ou une culture neuronale dans les couloirs d’un musée ou d’une galerie pour comprendre que l’infrastructure artistique existante (stockage, représentation, etc.) n’est absolument pas équipée pour ce genre d’œuvres. Tous ces sujets non humains qui interagissent les uns avec les autres donnent naissance à un ensemble systémique complexe, à de nouveaux espaces pour l’existence de l’art, où l’homme ne se voit plus attribuer le rôle le plus important. Existe-t-il des concepts et des formats d’art fonctionnels qui s’inscrivent dans le cadre de ces innovations technologiques ? Peuvent-ils contribuer à stimuler de nouvelles recherches et interventions artistiques critiques à l’intersection de l’art, de la science et de la technologie ? |
---|