Médias socionumériques alternatifs : étude sémiotique et rhétorique de diaspora*

Dans l’usage de la langue, les expressions « réseaux socionumériques » et « médias socionumériques » font directement référence aux plateformes hégémoniques et centralisatrices comme Facebook et Twitter. Il existe pourtant tout un ensemble de médias socionumériques « alternatifs », libres et distrib...

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Autor principal:	Emmanuelle Caccamo
Formato:	article
Lenguaje:	FR
Publicado:	Érudit 2019
Materias:	médias socionumériques rhétorique sémiotique diaspora* facebook design graphique Philosophy (General) B1-5802 Social sciences (General) H1-99
Acceso en línea:	https://doaj.org/article/d409c06ddac9437db255076d07970afe
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spelling	oai:doaj.org-article:d409c06ddac9437db255076d07970afe2021-12-02T09:26:19ZMédias socionumériques alternatifs : étude sémiotique et rhétorique de diaspora1929-090Xhttps://doaj.org/article/d409c06ddac9437db255076d07970afe2019-12-01T00:00:00Zhttp://revuecygnenoir.org/numero/article/caccamo-medias-socionumeriques-alternatifshttps://doaj.org/toc/1929-090XDans l’usage de la langue, les expressions « réseaux socionumériques » et « médias socionumériques » font directement référence aux plateformes hégémoniques et centralisatrices comme Facebook et Twitter. Il existe pourtant tout un ensemble de médias socionumériques « alternatifs », libres et distribués, moins connus du grand public. Cet article s’intéresse à cette seconde catégorie de technologies issues de l’informatique libriste. En prenant pour cas d’étude diaspora, ce texte se penche sur la sémiotique et la rhétorique des médias socionumériques libres en les comparant aux médias socionumériques hégémoniques. Par une approche comparative, une première partie de l’article aborde la rhétorique entourant des médias socionumériques eux-mêmes (l’argumentaire qui sous-tend le projet et l’imaginaire symbolique véhiculé), tandis qu’une deuxième partie s’intéresse au design d’interaction de l’interface, c’est-à-dire aux signes mobilisés et aux stratégies rhétoriques employées par les plateformes interactives. L’article montre de quelles manières diaspora* tient un rôle « alternatif » vis-à-vis de Facebook et identifie quelques limites à ce statut.Emmanuelle CaccamoÉruditarticlemédias socionumériquesrhétoriquesémiotiquediaspora*facebookdesign graphiquePhilosophy (General)B1-5802Social sciences (General)H1-99FRCygne Noir, Iss 7 (2019)
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description	Dans l’usage de la langue, les expressions « réseaux socionumériques » et « médias socionumériques » font directement référence aux plateformes hégémoniques et centralisatrices comme Facebook et Twitter. Il existe pourtant tout un ensemble de médias socionumériques « alternatifs », libres et distribués, moins connus du grand public. Cet article s’intéresse à cette seconde catégorie de technologies issues de l’informatique libriste. En prenant pour cas d’étude diaspora, ce texte se penche sur la sémiotique et la rhétorique des médias socionumériques libres en les comparant aux médias socionumériques hégémoniques. Par une approche comparative, une première partie de l’article aborde la rhétorique entourant des médias socionumériques eux-mêmes (l’argumentaire qui sous-tend le projet et l’imaginaire symbolique véhiculé), tandis qu’une deuxième partie s’intéresse au design d’interaction de l’interface, c’est-à-dire aux signes mobilisés et aux stratégies rhétoriques employées par les plateformes interactives. L’article montre de quelles manières diaspora tient un rôle « alternatif » vis-à-vis de Facebook et identifie quelques limites à ce statut.
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