L’expérience vécue de la nature : un levier pour transformer le politique dans un monde fini
Les éthiques environnementales et la théorie politique environnementale (TPE) ont eu pour projet de réfuter la conception anthropocentrée de l’éthique classique et de la théorie politique. Elles ont considéré que, seule, la reconnaissance de l’existence d’une valeur intrinsèque de la nature pouvait,...
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Autores principales: | , |
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Formato: | article |
Lenguaje: | FR |
Publicado: |
Éditions en environnement VertigO
2020
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Acceso en línea: | https://doaj.org/article/e36a2546e0894d6d8d8c7ff6ea1ad45f |
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Sumario: | Les éthiques environnementales et la théorie politique environnementale (TPE) ont eu pour projet de réfuter la conception anthropocentrée de l’éthique classique et de la théorie politique. Elles ont considéré que, seule, la reconnaissance de l’existence d’une valeur intrinsèque de la nature pouvait, entre autres, guider l’agir politique et déterminer les conditions d’une société définitivement soutenable et donc située dans les limites environnementales. Dans cet article, nous souhaitons explorer plus avant le recoupement entre les éthiques environnementales écocentrées et la TPE sur ce point précis que constitue la valeur intrinsèque de la nature. Notre hypothèse est que l’expérience vécue de la nature peut être un levier politique permettant de dépasser les dualismes traditionnels dans les systèmes de participation politique. |
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