Trois hommes progressistes aux Nations unies
Alors que l’ONU est souvent vue comme un organisme lointain, un « machin » dépersonnalisé et anonyme, j’ai choisi de rencontrer trois personnalités particulièrement humaines et qui ont comme point commun leur engagement pour faire agir les Nations unies au service du progrès social, des droits de l’...
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Formato: | article |
Lenguaje: | FR |
Publicado: |
Association Paul Langevin
2019
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Materias: | |
Acceso en línea: | https://doaj.org/article/e9b900337bc545d4a1488f23d2122a4a |
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Sumario: | Alors que l’ONU est souvent vue comme un organisme lointain, un « machin » dépersonnalisé et anonyme, j’ai choisi de rencontrer trois personnalités particulièrement humaines et qui ont comme point commun leur engagement pour faire agir les Nations unies au service du progrès social, des droits de l’homme et de l’aide aux peuples dans le besoin. Un Africain, Carlos Lopes (Guinée-Bissau), et deux Européens, le sociologue suisse Jean Ziegler et le syndicaliste français Bernard Thibault, ont développé dans ces entretiens les motivations de leur engagement aux Nations unies et leur jugement personnel sur l’action de cet organisme, souvent décrié, mais indispensable, car étant la plus démocratique des organisations internationales. |
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