Catholiques et sciences au début du xixe siècle
Les rapports entre science et religion sont surtout bien connus à partir des années 1850, après que le positivisme puis le scientisme contestent au catholicisme son pouvoir à dire l’ordre du monde. Jean-Luc Chappey apporte ici une contribution importante à l’étude de ces rapports dans une période an...
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Formato: | article |
Lenguaje: | FR |
Publicado: |
Association Paul Langevin
2002
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Acceso en línea: | https://doaj.org/article/eba097e0c9314358983eb2ac1348e0e3 |
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Sumario: | Les rapports entre science et religion sont surtout bien connus à partir des années 1850, après que le positivisme puis le scientisme contestent au catholicisme son pouvoir à dire l’ordre du monde. Jean-Luc Chappey apporte ici une contribution importante à l’étude de ces rapports dans une période antérieure, 1790-1830, qui demeure encore insuffisamment étudiée. Il montre comment, de la Révolution à la monarchie de Juillet, l’attitude des catholiques devant la science évolue en fonction d’enjeux et d’impératifs intellectuels desquels le pouvoir politique n’est pas absent. L’opposition radicale sous le signe de laquelle on place généralement les rapports science-religion produit en fait des configurations plus complexes et surtout fluctuantes. |
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