Du bon usage de la littérature en histoire
Priscilla Parkhust montre à travers une réflexion très personnelle comment des spécialistes de la littérature française aux États-Unis ont été amenés en s’interrogeant sur le statut de la production littéraire à travailler dans le cadre d’une compréhension globale des sociétés et, ainsi, à contribue...
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| Format: | article |
| Langue: | FR |
| Publié: |
Association Paul Langevin
2005
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| Accès en ligne: | https://doaj.org/article/f363fd7c30ee4ebbb83aeb8c02274bea |
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| Résumé: | Priscilla Parkhust montre à travers une réflexion très personnelle comment des spécialistes de la littérature française aux États-Unis ont été amenés en s’interrogeant sur le statut de la production littéraire à travailler dans le cadre d’une compréhension globale des sociétés et, ainsi, à contribuer à l’élaboration de l’histoire. Les textes littéraires, abondants et divers du xixe siècle français, constituent une des manifestations sociales de l’époque, pas seulement miroir de la société, mais créations elles-mêmes singulières, inscrites dans les formes du fonctionnement social et actrices à part entière de celui-ci. |
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