L’énonciation homérique et la pratique de l’invocation à la Muse
L’invocation homérique à la Muse varie en nature et en fonction. L’aède sollicite de la Muse tantôt le don du chant et de l’art poétique en général dans l’invocation initiale, tantôt des informations précises sur des faits dans l’invocation énumérative, tantôt la capacité de mémoire et d’agencement...
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Formato: | article |
Lenguaje: | ES |
Publicado: |
Universidad Nacional de La Pampa
2018
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Acceso en línea: | https://doaj.org/article/fa928e0a97f945878a6071b2ec711096 |
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Sumario: | L’invocation homérique à la Muse varie en nature et en fonction. L’aède sollicite de la Muse tantôt le don du chant et de l’art poétique en général dans l’invocation initiale, tantôt des informations précises sur des faits dans l’invocation énumérative, tantôt la capacité de mémoire et d’agencement des faits dans l’invocation narrative. Sur un autre plan, la fonction des Muses est de réjouir les dieux par leurs chants tandis qu’elles s’adressent au poète dans un rapport de communication directe pour accorder à celui-ci les moyens de développer un discours poétique à la fois personnel et original. |
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